Apolline de Malherbe « face à Pascal Praud »: la star de BFMTV prête à la bagarre, elle ne baisse pas la garde

Publié le 14 mai 2025 par: Être Heureux #etrehrx

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Depuis près de deux décennies, Apolline de Malherbe trace sa route dans l’univers impitoyable des médias avec une constance et une passion rare.

À la tête de la matinale de RMC et visage familier de BFMTV, la journaliste s’impose comme l’une des figures les plus aguerries du paysage audiovisuel français, entre rigueur journalistique et audace assumée.

Depuis presque vingt ans, Apolline de Malherbe incarne une loyauté sans faille au groupe RMC-BFM, où elle a gravi patiemment chaque échelon. D’abord dans l’équipe de Christophe Barbier, elle s’est illustrée comme productrice avant de s’envoler pour Washington en tant que correspondante. Son parcours s’est enrichi de casquettes multiples : éditorialiste, intervieweuse incisive, puis animatrice phare de la matinale Apolline Matin. Un engagement de long terme qui n’a rien d’un hasard : sa ténacité et sa rigueur professionnelle ont forgé sa réputation.

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Une reconnaissance renouvelée par la chaîne

Lors de son passage dans l’émission Quelle Époque ! le samedi 10 mai 2025, la journaliste a partagé sa satisfaction sans détour : « Je suis très heureuse. J’adore mon boulot là-bas ». Ce bonheur, elle le doit à une confiance renouvelée de la part de sa direction, qui lui a officiellement proposé de poursuivre pour la saison 2025-2026. « Ils sont heureux de moi », a-t-elle confié avec une sincérité désarmante, assurant ne jamais ressentir d’ennui dans son quotidien.

Face à un autre poids lourd de l’info, Pascal Praud, Apolline n’a pas reculé. Interrogée par Léa Salamé sur ce duel médiatique, elle n’a pas caché y voir un véritable défi. « Je trouve que c’était une très belle marque de confiance, franchement », a-t-elle commenté, avant d’ajouter, avec l’assurance qui la caractérise : « Je suis très bon soldat ». Libre de ses choix, elle affirme avoir été pleinement maîtresse de sa décision d’affronter cette confrontation quotidienne entre 9h et 10h. Une preuve supplémentaire de sa combativité assumée : « J’aime le combat, je me suis rarement défaussée », a-t-elle lancé avec fierté.

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Un climat de travail fondé sur la liberté

Ce climat de liberté revendiquée, Apolline de Malherbe l’attribue en grande partie à ses responsables : Jean-Philippe Baille, directeur de l’information, et Fabien Namias, à la tête du groupe RMC BFM. Un autre nom est venu compléter ce cercle de décideurs : celui de Rodolphe Saadé, dirigeant de CMA CGM et propriétaire de BFMTV, dont le soutien a été déterminant dans son parcours. « Il m’a dit : “Ce que j’ai aimé, c’est le fait que vous ayez été correspondante à l’étranger” », s’est-elle remémorée avec reconnaissance.

Un parcours international salué

Ce détail, apparemment anodin, a pourtant pesé lourd dans la balance. Correspondante aux États-Unis pendant l’élection présidentielle ou envoyée spéciale à Rome après la mort du pape François, Apolline a su démontrer que sa vision journalistique ne se limite pas aux studios parisiens. Sa capacité à décrypter les grands événements internationaux, sur le terrain, renforce sa légitimité dans une époque où l’ancrage et la crédibilité sont plus que jamais nécessaires.

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