« Elle a eu honte pendant des mois » : Nikos Aliagas revient sur cette séquence de la Star Academy qui n’a pas du tout plu à Agathe, sa fille (ZAPTV)
Publié le 11 novembre 2025 par: Être Heureux
Dans les souvenirs de la Star Academy, il y a les performances cultes, les histoires humaines… et ces coulisses parfois étonnantes qui prennent, avec le temps, des airs de légende.

Invité dans C à Vous, Nikos Aliagas est revenu sur l’âge d’or du télé-crochet et sur quelques rencontres marquantes qui continuent de le faire sourire. Dans les années 2000, la Star Academy attirait les plus grandes célébrités de la scène musicale mondiale. Nikos Aliagas se rappelle notamment une soirée de 2005 qui reste gravée dans sa mémoire.
Aux côtés de Johnny Hallyday, l’animateur avait partagé un moment de télévision exceptionnel. Mais le plateau ne manquait pas de brillants invités : « Il y avait Madonna, Stevie Wonder, Carlos Santana, Alanis Morissette… », raconte-t-il.
L’ambiance était presque irréelle, au point que certains plaisantaient en coulisses : « Et Michael Jackson, il arrive quand ? ».
Le jour où une star n’a pas voulu être regardée dans les yeux

Face à la rumeur selon laquelle il était interdit de regarder Madonna, Nikos Aliagas a tenu à préciser les choses.
Ce n’était pas la reine de la pop, mais Britney Spears. La consigne venait de son équipe, qui recommandait aux élèves d’éviter le contact visuel direct avec l’interprète de Toxic.
Pourtant, l’animateur confesse avoir brisé la règle avec naturel :
« Je rentre dans la loge, je commence à baisser les yeux… puis je lui lance ‘Hey Britney, how are you ?’ ».
Son secret pour survivre à l’intensité du direct ? « À un moment, il faut être un peu dingue. Sinon, tu ne t’en sors pas. »
Quand Nikos s’amuse… et que sa fille baisse les yeux

Vingt-quatre ans après la première saison, Nikos Aliagas prend toujours autant de plaisir à animer l’émission.
Certaines séquences sont même devenues virales, comme celle où il apparaît en costume disco, chaussures compensées, sur Daddy Cool.
Les internautes ont adoré son énergie et son autodérision, mais à la maison, la réaction fut différente.
« Ma fille a eu honte des mois », avoue-t-il en riant.
Agathe, 12 ans, lui a même lancé un jour : « Non papa, pas la tenue disco… »
L’autodérision, une signature assumée

Et pourtant, cela n’a pas empêché Nikos de recommencer.
À Noël, l’animateur a même osé un costume de père Noël fantaisiste, « encore pire », selon lui.
Mais il revendique ce choix de liberté joyeuse :
« Tant que t’assumes tout, ça passe. »
Une devise qui résume sa manière d’être à l’écran : sérieuse quand il le faut, mais toujours prête à surprendre, à jouer, à désacraliser le moment.







